Le rôle du Meneur de Jeu (MJ) dans un JDR
Vous avez entendu parler de Jeu de Rôle et le mot « Meneur de Jeu » revient sans cesse ? Vous vous demandez comment définir précisément le rôle du « MJ »? Cet article va vous intéresser. Vous y trouverez une définition complète du « Maître du Jeu ». Mais ce n’est pas tout ! Je vous y livre mes conseils afin que vous puissiez vous lancer dans l’aventure sans crainte : à vous la couronne du Maître de Jeu !
Retrouvez également cet article au format audio :
Le Meneur de Jeu : un rôle central
Dans une partie de JDR, il y a deux types de joueurs. D’un côté, vous avez les Personnages Joueurs (PJ), et de l’autre, le Meneur de Jeu (MJ).
Également appelé Maître du Jeu (ou parfois Maître du Donjon), le MJ a un rôle central dans le JDR. Il en a même plusieurs : scénariste (il prépare le scénario), conteur (il raconte l’histoire et décrit les situations), acteur (il incarne les personnages que les PJ ne jouent pas), et même arbitre si besoin (c’est à lui de trancher en cas de litige sur les règles).
Vous vous dîtes sûrement que le MJ est tout-puissant. Que c’est en quelque sorte le King de la partie. Et vous avez essentiellement raison. 🤴
Mais ce « pouvoir » est au service de sa mission principale : faire en sorte que tout le monde passe un super moment pendant l’aventure. Comme vous le savez sans doute : « un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ».

Pendant le briefing du début de ma dernière partie, un joueur totalement débutant dans le JDR (hello Daniel ! 🖐️) m’a demandé, un peu inquiet, si j’allais plutôt les aider ou si j’étais « contre » eux. Je lui ai répondu : « Bien sûr que je suis CONTRE vous. En tant que MJ, mon objectif est de vous tuer, muhahaha ». Avant de le rassurer immédiatement ! (Même s’il y avait un léger fond de vérité dans le fait que j’allais chercher à les tuer, on faisait du Cthulhu quand même…😈)
En fait, le Meneur de Jeu est avant tout là pour guider les joueurs. Il décrit le contexte, l’environnement et donne des pistes pour que les PJ puissent agir. Son but n’est clairement pas de « vaincre » les autres joueurs, loin de là !
Il incarne également les PNJ (Personnages Non-Joueurs), qui peuvent aussi bien être les alliés que les ennemis des PJ. Le Maître du Jeu est donc tenu par l’interprétation crédible de ces PNJ.
Si le MJ est le narrateur principal de l’histoire, il ne faut pas oublier que l’aventure se construit avec l’ensemble des joueurs.
D’ailleurs, le MJ est bien souvent amené à rebondir sur des actions ou des suggestions de ses joueurs. C’est à lui de décider des conséquences de chaque action entreprise et dans quelle mesure cela va influencer la suite de l’histoire.
Par exemple, un joueur magnanime fait le choix d’épargner un « méchant » pendant l’aventure : c’est au Meneur de Jeu de décider si cet ennemi va ensuite trahir les personnages, leur livrer des informations cruciales, ou même devenir leur meilleur allié.
Je dis souvent que tout est possible dans un JDR… et c’est souvent au MJ d’en décider ! 😉
Y a-t-il des Jeux de Rôles sans MJ ?
Sans Meneur de Jeu, pas de JDR. Du moins, en théorie. Car dans la pratique, il existe aussi des Jeux de Rôles sans MJ !
Je vous avoue n’avoir jamais testé, car l’idée ne m’emballe pas vraiment. Mais comme je suis du genre curieux, je me suis renseigné sur le sujet. Qui sait ? Peut-être que je tenterais l’expérience un jour. Si c’est le cas, je ne manquerais pas de vous le faire savoir dans ce blog.
L’idée avec un JDR sans MJ, c’est de faire plusieurs parties d’un même Jeu de Rôle dans lesquels il n’y a pas qu’un seul et unique Maître du Jeu. La casquette (ou couronne plutôt) de MJ est donc « tournante ».
Ainsi, il n’y a plus uniquement un seul joueur en charge de l’aventure. Les joueurs peuvent être plusieurs à réfléchir au scénario et à interpréter les réactions durant la partie.
Les Jeux de Rôle sans Meneur sont généralement prévus spécifiquement pour ce style de jeu. Chacun d’eux dispose de ses propres règles pour déterminer qui est en charge de tel ou tel aspect de l’histoire : scénario, intrigue, univers, PJ, PNJ, etc.
Parfois, l’aventure est découpée en sous-parties, dont chaque joueur a la responsabilité. Dans d’autres jeux, n’importe qui à la table a la possibilité d’imaginer de nouveaux éléments qui interviennent dans l’histoire.
Je referme cet aparté sur le JDR sans MJ. Si vous avez déjà tenté, je suis preneur de votre avis sur la question dans l’espace Commentaires en bas. 👍
Êtes-vous prêt à devenir le Maître du Jeu ?
Dans les Jeux de Rôles plus « classiques », avec MJ, le rôle du Meneur de Jeu peut paraître impressionnant. Et à raison.
Clairement, on ne va pas se mentir, cela représente pas mal de boulot. Surtout au début. Mais c’est tellement gratifiant. Le jeu en vaut la chandelle, croyez-moi !
Le rôle de MJ est particulièrement fait pour vous si vous aimez raconter des histoires.
Toutefois, notez bien que vous ne serez pas seul pour gérer la narration : c’est une aventure collective, où chacun participe à sa manière à une histoire totalement unique. Il vous faut donc beaucoup parler, mais aussi savoir écouter.
C’est pourquoi la mission du Meneur de Jeu est davantage celle d’un chef d’orchestre. C’est à vous de coordonner les idées et de réagir en conséquence aux actions de vos joueurs.
Vous êtes en charge du rythme de la partie : vous pouvez le ralentir pour favoriser le suspense et les périodes propices au roleplay (interprétation des personnages), ou au contraire décider d’accélérer si vous voyez que la situation s’enlise et que vos joueurs commencent à tourner en rond.

La couronne de Maître de Jeu est également faite pour vous si vous aimez observer et résoudre des problèmes. Sachez que vous ne pourrez pas tout anticiper. Parfois, vous allez devoir trouver des solutions sur le tas et improviser !
Par exemple, dans ma dernière partie, mes joueurs ont tué un PNJ (RIP Stanislas) qui n’était pas un ennemi (ils avaient la gâchette facile, on va dire 😅). Le problème, c’est qu’en tant que MJ, j’avais besoin de ce personnage pour leur faire passer des informations importantes pour la suite du scénario. J’ai donc improvisé un tout nouveau personnage : le jeune fils de Stanislas, afin qu’il puisse transmettre une partie des info (il a lui aussi pris sa bastos ensuite…).
Ce que j’aime par-dessus tout avec le rôle de MJ, c’est le fait de créer et de « faire vivre » un univers que mes joueurs vont pouvoir explorer à leur guise. Il y a clairement un côté metteur en scène là-dedans.
Quand vous êtes MJ, votre pouvoir de création est presque sans limite !
En bref, jouer au Jeu de Rôle développe votre créativité, ainsi que votre sens de l’improvisation et de l’interprétation. Et c’est encore plus vrai si vous êtes le Meneur de jeu. Voilà de belles compétences à avoir dans la vie de tous les jours, vous ne trouvez pas ? 💪
Surtout, ne vous mettez pas la pression. Avant votre première partie, vous ressentirez sans doute un peu de stress, et c’est normal. Mais une fois lancé, tout se passera bien, vous verrez.
En fait, tout ce dont vous avez à vous occuper, c’est de passer un bon moment avec vos amis. Et de vous amuser, tout simplement !
Vous vous demandez si vous êtes réellement prêt à vous lancer dans le Jeu de Rôle ? J’ai justement créé un KIT téléchargeable (gratuitement) pour savoir si vous êtes prêt à vous (re)lancer dans un JDR.
Quelques conseils pour mener des parties de Jeux de Rôles
Parce que le rôle de MJ peut sembler balaise de prime abord, voici quelques conseils à garder en tête. Rien ne pourra vous empêcher de connaître vous aussi ce plaisir unique ressenti par les Meneurs de Jeu ! 😎
Conseil n°1 : Démarrez avec peu de joueurs
Vous avez pris votre courage à deux mains et décidé de maîtriser votre première partie de JDR ? Bravo ! Je vous conseille de démarrer avec un nombre restreint de joueurs : entre 2 et 4 maximum. Car plus vous aurez de joueurs à votre table, plus leurs attentes seront différentes vis-à-vis du Jeu de Rôle.
Conseil n°2 : Optez pour un scénario « tout fait » pour votre première partie
Si vous débutez en tant que MJ, je vous conseille vivement de suivre un scénario déjà écrit. N’hésitez pas à chercher des avis afin de vous assurer que ce scénario a été « testé & approuvé ». Vous trouverez des scénarios en libre accès sur le web. Vous pouvez également commencer avec une boîte d’initiation ou un livre de Jeu de Rôle.
Conseil n°3 : Préparez-vous en amont de la partie
Une partie de JDR, ça se prépare à l’avance ! Relisez votre scénario, anticipez les dénouements de l’histoire, préparez vos PNJ et assurez-vous d’avoir tout votre matériel de jeu à proximité (notes, livres, musique, dés, cartes, fiches et autres pions). En étant préparé, vous serez plus à l’aise pendant la partie et vous pourrez improviser plus facilement.
Conseil n°4 : Laissez vos joueurs s’exprimer
Il est très frustrant pour des joueurs de JDR de se heurter en permanence à des « non, tu ne peux pas faire ça » ou à des « murs invisibles ». Mais si, vous voyez de quoi je parle, les murs invisibles du scénarium ? Ce sont des barrières dressées à la hâte par le MJ lorsqu’il veut éviter que les joueurs aillent dans une direction qu’il n’a pas prévu. En tant que MJ, j’aime que mes joueurs aient l’impression de pouvoir TOUT faire (s’ils sont prêts à en assumer les conséquences, bien entendu !). Notez que je parle bien d’impression : soyez subtil et laissez-leur une marge de liberté, quitte à ce que l’histoire dévie par rapport à ce que vous aviez prévu.

Conseil n°5 : Cultivez votre imagination
Votre imagination va vous être très utile pour pouvoir improviser sans (trop) de difficultés et pour rendre concret votre univers de Jeu de Rôle. Alors c’est vrai, certains ont plus d’imagination que d’autres. Mais croyez-le ou non, l’imagination, ça se développe ! Soyez curieux de tout, voyagez, jouez à toute sorte de jeux, lisez différents types de livres, regardez des films et des Actual Plays (parties enregistrées de JDR). Bref, vivez à fond ! 😁
Conseil n°6 : Débriefez avec vos joueurs
Que vous soyez un MJ débutant ou avec de la bouteille, je vous invite à toujours débriefer avec vos joueurs une fois la partie finie. Le débrief à chaud est l’occasion pour chacun de s’exprimer sur son expérience de jeu. Vos joueurs ont-ils passé un bon moment ? Et vous ? Qu’est-ce qui a plu ? Qu’est-ce qui a moins fonctionné ? Soyez ouvert aux critiques : elles vous permettront de vous améliorer la prochaine fois. La remise en question est la base de tout développement personnel, y compris dans le JDR !
Les Kits du Meneur de Jeu
Pour vous lancer dans un JDR en tant que MJ, je conseille plutôt de commencer avec un kit d’initiation (plutôt que d’attaquer direct par un gros livre).
Ces boîtes de jeu contiennent tout ce dont vous avez besoin pour démarrer immédiatement une partie de JDR. Elles proposent bien souvent une version plus light des principales règles du jeu en question. Vous y trouverez également des aides et du matériel bien utiles.
👉 Retrouvez les kits d’initiation que j’ai moi-même testés & approuvés dans l’article « Quel Jeu de Rôle pour débuter ? »
Sachez qu’il existe aussi des kits spécialement à destination des Meneurs de Jeu ! Généralement, ils vous proposent un écran du MJ (pour protéger vos notes des regards indiscrets), des scénarios clés en main, de nombreuses aides de jeu, ainsi que des PNJ à inclure dans vos aventures.
Avec ces kits du Meneur de Jeu, les éditeurs de JDR font en sorte d’accompagner au mieux les MJ en herbe. Les accessoires qu’ils contiennent ne sont pas toujours indispensables. Mais ils sont souvent bienvenus pour faciliter votre prise en main sur un jeu.
Tout comme les boîtes d’initiation, les kits du MJ ne se valent pas tous. Je vais donc vous parler de ceux que je connais. Vous pourrez ainsi voir des exemples concrets de kits. Libre à vous de compléter ces info dans la partie Commentaires. 😀
Le kit du MJ Star Wars – Force et Destinée
Le kit du MJ Force et Destinée vous propose un livret d’aventure et un écran de Maître de Jeu (rigide, en 4 volets, avec un résumé de la totalité des règles). Le scénario est particulièrement pensé pour des joueurs qui se lancent dans le JDR. Il contient également plusieurs conseils à destination des Meneurs de Jeu débutants.
Mon avis : Pour compléter mes boîtes d’initiation au JDR Star Wars, je voulais absolument me procurer un kit du MJ. Ne serait-ce que pour l’écran. J’ai pas mal hésité avec le kit du MJ Aux Confins de l’Empire (le Boba Fett de la couverture me faisait clairement de l’oeil 👀), avant d’opter pour Force et Destinée. Outre le fait de voir Yoda et Dark Maul réunis sur une même affiche, c’est surtout le scénario du livret qui m’a séduit. Il offre la possibilité aux apprentis Jedi (les « sensibles à la Force ») de découvrir des cristaux kyber pour construire leurs propres sabres-laser (avec des règles pour pouvoir les customiser entièrement). Si vous avez toujours rêvé d’avoir un double sabre-laser violet, ce kit est fait pour vous !
Le kit du MJ Deathwatch
Le kit du MJ Deathwatch contient de quoi vous plonger directement dans une aventure à la sauce Warhammer 40000. En plus d’un livret d’aventure, la boîte vous propose un écran de Meneur de Jeu bien rigide (carton épais, en 4 volets).
Mon avis : Ce kit est bien pensé. L’écran du MJ fait son petit effet une fois posé sur la table, avec son gros (et beau !) Space Marine de l’inquisition. En plus d’une aventure clé en main, le livret vous propose des PNJ intéressants, ainsi qu’un système complet pour pouvoir créer vos propres missions (pour aller purger la galaxie des traîtres et des extraterrestres !).
Le kit du Meneur de Jeu Casus Belli
Ce kit du MJ proposé par Cassus Belli est différent des deux exemples précédents. Il n’est pas dédié à un univers bien précis, mais a pour objectif de servir à tous les Meneurs de Jeu de la planète, quel que soit le JDR choisi. Un pari audacieux, vous ne trouvez pas ? Pour cela, il contient : des feuilles de jeu effaçables à sec, des magnets amovibles (très pratiques pour gérer l’ordre d’initiative), une surface de jeu recto-verso elle aussi effaçable à sec, ainsi que des crayons, des gommes et un feutre effaçable.
Mon avis : Je vous avoue que je n’ai pas moi-même acheté ce kit. Son prix m’a semblé un peu excessif par rapport à son contenu. Et j’avais déjà ce qu’il fallait chez moi (même s’il me faut souvent fouiller dans mes placards). Cela dit, le kit a le mérite de regrouper en une seule boîte des accessoires très pratiques durant les parties. Il vous paraîtra judicieux si vous aimez réaliser des « achats groupés » pour votre matériel de jeu. Pas indispensable selon moi.
Le rôle du Meneur de Jeu dans un JDR n’a désormais plus de secret pour vous. Même s’il y aurait encore beaucoup à dire sur le MJ (tout comme le PJ), le meilleur conseil que je peux vous donner est de vous jeter à l’eau.
Ne vous prenez pas la tête : choisissez un Jeu de Rôle, trouvez quelques amis, proposez-leur de tester un jeu de société un peu original, et go ! Pour cerner leurs attentes et leur « niveau » de jeu, vous pouvez même leur faire parvenir le KIT « Êtes-vous prêt ? » avant la première partie.
Bref, lancez-vous ! 😉
Thibaut

8 commentaires sur “Meneur de Jeu de Rôle : Tout Savoir”
En parlant de wargames, le magazine Vae Victis (spécialisé dans les jeux de simulation historiques), vient de publier un article élogieux sur Würm.
Comme quoi les ponts entre les différentes catégories de jeux de simulation peuvent à nouveau se créer, comme aux grandes heures de Casus Belli.
D’ailleurs, n’oublions pas que le jdr à pour origine le développement de l’aspect narratif du wargame fantastique joué à l’échelle 1 pour 1.
On en retrouve la trace jusqu’à aujourd’hui, où la partie combat constitue encore une partie importante, voire centrale de la plupart des règles des jdr.
Exact ! Bien sûr que les ponts peuvent se créer entre les différentes catégories de jeux de simulation. 🙂
Pour ma part, j’utilise souvent des figurines dans mes parties de JDR.
Tout à fait !
Vraiment bravo pour ce blog dont la clarté, la pédagogie et la qualité rédactionnelle m’ont impressionné. J’imagine que tes compétences professionnelles n’y sont pas pour rien 😉
Un point très important : je pense que c’est justement une fois que quelqu’un a compris les principes du JDR, qu’il peut se montrer perplexe.
La question est alors : comment un tel système « ouvert » peut fonctionner ? Comment la partie ne partirait pas très vite en dehors des « clous » du scénario, à moins que le MJ ne devienne hyper dirigiste et tue la liberté des joueurs (ou ne soit condamné à de la pure improvisation) ?
C’est à mon avis ce qui empêche beaucoup de personnes de sauter le pas bien loin devant la longueur ou la complexité des règles.
Wahou, que d’éloges !
Merci Alain pour ce commentaire détaillé. Cela me fait très plaisir !
Oui, tu as raison. La remarque est très intéressante.
Et je ne pense pas qu’il y ait de réponse toute faite : cela dépend essentiellement du style de jeu recherché, du JDR auquel on joue et du « niveau » d’aisance du MJ.
Autant de paramètres qui font que chaque partie (et chaque table de JDR) est unique !
Quoi qu’il en soit, la meilleure façon de faire fonctionner un tel « système de jeu », c’est de tenter par soi-même ! 😉
Je pense que si finalement, la magie opère, et que les joueurs restent plus ou moins dans le cadre du scénario, c’est qu’au delà des talents du MJ, ces derniers ont envie qu’on leur raconte une histoire.
Et ils n’ont donc pas intérêt à briser la trame narrative , l’important étant de peser sur les événements.
Mais sur le fond, tu as raison : au-delà de ces considérations théoriques, il faut bien un jour se lancer.
Pour ma part je viens d’acquérir la gamme complète de Würm que je trouve parfait pour débuter (en plus du sujet qui me passionne). Le fait de devoir « rentabiliser » cet investissement est aussi une bonne motivation. 😉
Et tous les conseils de ce blog me seront fort utiles !
Tu as tout à fait raison. Car tout le monde a le temps pour une histoire passionnante. Surtout si elle est partagée et « vécue » ensemble !
C’est là l’essence même du JDR (en tout cas pour moi). Jette un œil au « slogan » de JDR-Mania en haut ! 😉
Würm a l’air d’être très intéressant. Je n’ai jamais eu l’occasion de tester à ce jour, ni d’ouvrir un livre de la gamme. N’hésites pas à partager ton retour à l’occasion. 🙂
C’est ton premier Jeu de Rôle ?
En fait, j’ai connu le jdr via le magazine Casus Belli, que j’achetais avant tout pour sa partie wargames. Mais il m’arrivait souvent de lire les articles sur le jdr , parcourir les scénarios… Si bien que j’ai été tout de même été imprégné par cet univers, sans pour autant sauter le pas. Mais bon, il n’est jamais trop tard !
Ah oui ! En effet, il n’est jamais trop tard ! 😉